Le Journal de Bösendorfer


Le Journal de Bösendorfer - à partir du 23 janvier


Des histoires extraordinaires, des histoires du quotidien, en encore des histoires personnelles, qui puisent non seulement dans notre riche histoire, mais aussi dans notre présent, avec une pointe d’avenir. A la recherche de deux maîtres artisans d’exception qui, après avoir conquis l’Europe, ont su diffuser le son viennois à travers le monde entier.

Voilà comment tout a commencé : Vienne, le 25 juillet 1828 : Ignaz Bösendorfer obtient le droit de s’établir à Vienne, de travailler comme facteur de pianos et de payer des impôts. L’histoire sonore de notre entreprise, si étroitement liée au développement culturel de la ville de Vienne, commence avec cette autorisation officielle.

Déjà à l’époque de la fondation de notre compagnie de pianos, Vienne est considérée comme une métropole culturelle et musicale. Mozart, Haydn, Beethoven, Schubert y ont déjà créé de grandes œuvres. En 1828, le violoniste italien Niccolò Paganini donne sa première représentation à Vienne, qui se prosterne aux pieds du « violoniste du diable ». En 1825, Vienne devait compter 148 facteurs de pianos et pouvait à juste titre être qualifiée de centre européen de la facture de piano. En 1839, Ignaz Bösendorfer devient le premier constructeur de pianos à se voir attribuer par l’empereur le titre de « Facteur de pianos royal et impérial auprès de la Cour ».

A la mort de son père, Ludwig Bösendorfer reprend la manufacture à l’âge de 24 ans. Son oreille exceptionnelle fait de lui un musicien très talentueux, une qualité essentielle qui lui permettra de frayer d’égal à égal avec les grands artistes de son temps. En 1872, Ludwig obtient l’autorisation d’ouvrir une salle de concert dans les anciennes écuries du Palais Liechtenstein - avant sa démolition en 1913, cette salle est considérée, avec le Musikverein, comme l’une des meilleures salles de concert de musique de chambre à Vienne. Au tournant du 20ème siècle, Vienne compte plus de deux millions d’habitants et forme un creuset de cultures d’Europe centrale, avec une société économiquement et intellectuellement instruite.

1100ème anniversaire de la mort de Ludwig Bösendorfer : 2019 marque le 100ème anniversaire de la mort de Ludwig Bösendorfer. Doué d’un sens aigu des relations publiques et véritable génie du « réseautage », il entretient de bons contacts avec les personnalités clés de la musique et de la vie sociale et porte Bösendorfer bien au-delà des frontières de l’Europe.

Suivez-nous - partons ensemble dès le 23 janvier à la recherche de ces maîtres artisans et entrepreneurs d’exception qu’étaient Ignaz et Ludwig Bösendorfer. Qui étaient les hommes derrière ces noms ? Qui étaient leurs amis et compagnons ? Quelle était leur motivation ? Nous vous invitons à explorer avec nous leur dévouement inconditionnel à la musique et leur vision ; aujourd’hui encore, au 21ème siècle, leur esprit continue d’influencer notre manufacture, dont nous vous proposons un aperçu.

Nous vous souhaitons un merveilleux moment d’immersion dans notre univers sonore !